Envie de trancher – enfin – entre CTO as a Service et embauche en interne ? Bonne nouvelle : on sort la calculette, on épluche les délais et on met les risques sur la table. CTO as a Service ou recrutement classique : place au face-à-face.
Pourquoi choisir un CTO as a Service ?
Flexibilité immédiate
Besoin d’un œil expert dès lundi ? Avec l’externalisation, le feu passe au vert sans préavis ni onboarding à rallonge. Tu ajustes le curseur de temps et de budget comme un tableau de bord SaaS.
« Externaliser la direction technique, c’est comme prendre le volant d’une Tesla avec pilote automatique : tu restes aux commandes, mais en toute sérénité. »
Accès à un pool de compétences variées
- Architecture cloud, sécurité, data : le CTO externalisé s’appuie sur une équipe élargie.
- Veille technologique continue – pas juste un seul profil, mais une guild d’experts.
- Retour d’expérience multi-secteurs (fintech, e-commerce, santé digitale, etc.).
Maîtrise des coûts
Paiement à l’usage, zéro charge patronale, aucune dilution en BSPCE. Bref, tu payes pour la valeur livrée, pas pour la chaise vide.
Recruter un CTO interne : promesses et réalités
Le recrutement… marathon ou sprint ?
Sur le papier, un CTO salarié garantit la présence quotidienne. Dans les faits : six mois de chasse, trois propositions avortées et un onboarding de 100 jours. Pour une PME, perdre 3 mois, c’est retarder la sortie produit et griller du cash.
Loyauté et culture maison
Un directeur technique interne vit l’ADN de la boîte, respire son slack et connaît chaque raccourci du code legacy. Atout incontestable pour bâtir sur le long terme… à condition de le garder.
Coût total de possession
- Package annuel : salaire fixe, variable, avantages.
- Charges sociales : +45 % en France.
- Turn-over potentiel : coût de sortie + perte de savoir.
Comparatif : coûts, délais, risques
1. Coûts directs
- CTO as a Service : facturation mensuelle modulable, de 2 à 10 jours/mois.
- CTO interne : package annuel 120–180 k€, sans compter les bonus.
2. Délais de mise en place
- Externalisé : démarrage en 1–2 semaines.
- Interne : 4–9 mois de recrutement complet.
3. Risques opérationnels
- Externalisation : risque de dépendance contractuelle si mauvaise gouvernance.
- Interne : départ surprise, perte de savoir critique.
« Un bon CTO doit être le chef d’orchestre, pas le seul musicien. »
Quand externaliser, quand internaliser ?
Scénarios propices au CTO as a Service
- Phase d’amorçage ou de pivot : besoin de tester des hypothèses vite.
- Lancement d’un nouveau produit sans équipe tech solide.
- Audit et remise à plat d’un SI vieillissant.
Moments clés pour passer en interne
- Série B ou C : l’organisation dépasse 40 devs.
- Produit stable, roadmap pluri-annuelle.
- Volonté de capitaliser sur une culture technique forte.
Comment réussir ta transition vers une direction technique externalisée ?
1. Clarifier les objectifs
ROI, métriques, attentes humaines : tout doit tenir en une page. Pas de flou artistique.
2. Établir une gouvernance solide
Rituels hebdo, KPIs, Slack partagé : le CTO as a Service agit comme membre du COMEX, pas comme prestataire fantôme.
3. Préparer la passation
Pense déjà au « jour 1 » où tu internaliseras. Documentation, architecture évolutive, coaching des équipes internes : fais-en une clause contractuelle.
En bref : la boussole décisionnelle
Si tu cherches agilité, contrôle budgétaire et expertise multi-domaine, l’option CTO as a Service coche toutes les cases. Si ta boîte vise une culture tech à long terme et un leadership maison, l’embauche interne prend le relais. À toi de choisir le tempo, Snowpact aligne la partition.
